Je tiens à exprimer ma satisfaction d’apprendre que l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) vient de décider d’accorder un financement pour des travaux de recherche sur l’aluminium vaccinal.

Depuis près de 7 ans, des malades se battent en lien avec l’association E3M (Entraide pour les malades de myofasciite à macrophages) pour faire reconnaitre la nocivité des sels aluminiques dans les vaccins et se faire entendre des autorités sanitaires.

Je suis à leurs côtés dans ce combat, et ai réussi, en tant que membre du Conseil d’administration de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, à faire débloquer 150 000 euros en 2012 au profit de l’équipe de l’INSERM des Professeurs Gherardi et Authier pour travailler sur cette question.

Mais depuis et malgré des demandes d’approfondissements, le Ministère s’y oppose, avec un refus systématique d’aborder le potentiel lien entre la présence de l’aluminium dans les vaccins et certaines maladies.

Il est pourtant salutaire de se poser des questions de santé publique dès qu’un problème apparait. Toutefois, il n’est pas facile d’aborder les choses de manière scientifique dès qu’il s’agit de vaccination. Immédiatement, tout doute émis renforcerait le camp des anti-vaccinaux.

Ce n’est pas ma conception des Sciences et les scandales médicaux qui ont ébranlé la confiance de nos concitoyennes et concitoyens en attestent.
Pour parvenir à mettre en place une bonne couverture vaccinale, ce qui est indispensable, il faut assurer toute la transparence sur le rôle des adjuvants aluminiques.

Les 400 000 € accordés à présent par l’ANR sont donc une étape très importante pour que ce sujet soit traité de façon exhaustive et objective pour un débat serein afin de garantir la sécurité sanitaire de toutes et tous.