Je vous ai écouté, Messieurs les Ministres, sur ce que vous appelez par effraction à la langue, la réforme de la retraite que nous rejetons telle quelle, comme la majorité des français.
Depuis des mois, après un virage à 180° de Monsieur Sarkozy, vous « managez » la vie des femmes et des hommes pour les priver de leur retraite dans les conditions et à l’âge conquis voici 30 ans.
Vous avez tout décidé en cercle fermé et limité votre démocratie, votre démocrature, à la seule question posée aux syndicats, c’est à prendre ou à laisser.
Vous avez aussi blessé le travail législatif et (…)