Robert BRET se félicite de la conclusion d’enquête de la Commission européenne relative aux mesures prises par l’Etat français en faveur de la SNCM lors de sa privatisation

Finalement la recapitalisation, engagée par JC GAYSSOT, Ministre des Transports du Gouvernement JOSPIN, de la Société Nationale Corse-Méditerranée (SNCM) avant sa privatisation partielle n’était pas un traitement de faveur comme ne cessait de le dénoncer son concurrent direct CORSICA FERRIES.

Ainsi, l’annonce de la commission européenne vient battre en brèche le jugement de la Cour Européenne de Justice qui avait rendu illégale l’aide accordée par l’Etat afin de recapitaliser la compagnie pour mieux la céder.

A défaut d’un traitement de faveur, il s’agissait bien d’une gestion raisonnée !

En approuvant ce renflouement, la Commission européenne dégage l’horizon de la SNCM qui a connu maintes turbulences ces dernières années.

En effet, tandis qu’une grande majorité des salariés ont approuvés fin 2007 le plan de relance de la « Nouvelle SNCM », que dans le même temps la rentabilité de l’entreprise est amorcée, que le projet d’un terminal RO-PAX dédié aux autoroutes des mers a été revu dans un souci de transparence et d’équité favorable aux armateurs locaux présents dans les bassins Est, on peut légitimement penser dès lors que la SNCM est sur la voie du développement.