Texte prononcé lors du rassemblement Place Saint-Michel suite à l’assassinat de Clément Meric 6 juin 2013
Hier au soir la violence fasciste, la violence d’extrême droite a frappé. Elle a frappé Clément qui, aujourd’hui, n’est plus parmi nous. Bien sûr, nos pensées vont d’abord vers sa famille, ses amis, ses camarades qui sont aujourd’hui dans une telle souffrance que les mots ne peuvent suffire à décrire.
Qu’ils sachent seulement que nous partageons humblement cette souffrance. Nous sommes ici (…)