Avec la privatisation des concessions autoroutières en 2006, l’État a perdu une importante manne financière, de l’ordre de 1,5 milliard d’euros par an.
Alors que s’engagent les discussions sur le dernier projet de loi de finances de ce quinquennat, le Gouvernement devrait, enfin, remettre en cause ce choix.
Ces contrats de concession ne sont pas immuables. L’article 38 les concernant permet de les dénoncer au motif de l’intérêt général, sans alourdir la dette au sens des critères de Maastricht.
Cette dénonciation permettrait enfin de s’engager dans la voie de la renationalisation (…)
Le constat est largement partagé. La préservation de notre planète est une urgence absolue car de l’état de notre environnement dépend la survie de l’humanité. Faute de (…)