Le groupe CRCE-K

Au lendemain du 14 juillet : F. Bayrou contre le peuple

François Bayrou persiste et signe. Au cœur de l’été, le Premier ministre annonce une politique de sacrifices pour le plus grand nombre, 44 milliards d’économies, protégeant jalousement les privilèges des grandes fortunes et des actionnaires.
Ce 15 juillet, la liste des mauvais coups s’allonge : suppression de deux jours fériés — le lundi de Pâques et le 8 Mai, tout un symbole puisque ce (…)

Un gouvernement enfermé dans l’a priori austéritaire

Nous sortons de cette réunion à Bercy sans illusions  : le gouvernement persiste à enfermer notre pays dans une logique austéritaire, où la réduction de la dépense publique devient une obsession, quel qu’en soit le coût humain et territorial.
Cette orientation idéologique, assumée par un exécutif minoritaire, se fait au mépris de la majorité sociale qui, partout dans le pays, appelle au (…)

Bayrou trompe le pays : pas de nation sans justice fiscale

Les premières annonces budgétaires de François Bayrou et de son gouvernement d’une part mais aussi les démarches initiées par la majorité sénatoriale d’autre part ont conduit les trois groupes de la gauche sénatoriale à se réunir, le mercredi 11 juin, afin d’en examiner la portée et d’adopter une déclaration commune.
Depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, ce gouvernement soutenu (…)

François Bayrou palabre pour faire passer une nouvelle fois la pilule de l’austérité

À l’ombre du slogan sentencieux “La vérité permet d’agir”, le Premier ministre s’est livré à une opération de communication, peu respectueuse du Parlement, qui ne saurait dissimuler ses véritables orientations : un affaissement méthodique de l’action publique, une défiance de principe envers l’impôt, et une politique d’austérité budgétaire qui ne dit pas son nom.
Citons-le : “Seule la (…)

Lettre aux élus sur les conséquences du PLF 2025

La censure du gouvernement Barnier aurait pu permettre une réorientation des choix budgétaires tenant compte du vote des électeurs. Au lieu de cela, le gouvernement a préféré passer en force, usant du 49.3 et contournant le parlement à plusieurs reprises.
Ce choix a été fait au nom de la stabilité d’un budget qui perpétue la politique mise en œuvre par É. Macron depuis 2017. Sous couvert de (…)

Loi de finances 2025 : des coups de force aux coupes budgétaires

Le gouvernement et la majorité sénatoriale ont scellé, avec le PLF 2025, une trajectoire budgétaire brutale. 23,5 milliards d’euros de coupes en euros constants, dont 6,4 milliards arrachés en plus du PLF Barnier, à la hussarde, sans vote de l’Assemblée Nationale. Jamais un ajustement budgétaire d’une telle ampleur n’avait été imposé en si peu de temps.
Derrière les discours sur le "sérieux (…)

Budget 2025 : la contre-attaque des groupes CRCE-K et GDR !

À la veille d’une commission mixte paritaire qui s’annonce comme un instrument de contournement du débat parlementaire, le groupe Communiste, Républicain, Citoyen et Écologiste-Kanaky au Sénat et le groupe de la Gauche Démocrate et Républicaine à l’Assemblée nationale déposent aujourd’hui une proposition de loi d’urgence sociale et fiscale.
Malgré la censure, le gouvernement s’est refusé à (…)

20 mesures d’urgence pour ouvrir une nouvelle voie

Le refus du Président de la République Emmanuel Macron, de reconnaître les résultats des élections législatives du mois de juin – qu’il avait lui-même convoquées – a entraîné le pays dans la situation actuelle. En désignant un gouvernement minoritaire, il n’a fait que provoquer sa propre censure par l’Assemblée nationale, le 4 décembre 2024.
Cette crise est loin d’être terminée puisque les (…)