Le groupe CRCE-K

Budget 2025 : la contre-attaque des groupes CRCE-K et GDR !

À la veille d’une commission mixte paritaire qui s’annonce comme un instrument de contournement du débat parlementaire, le groupe Communiste, Républicain, Citoyen et Écologiste-Kanaky au Sénat et le groupe de la Gauche Démocrate et Républicaine à l’Assemblée nationale déposent aujourd’hui une proposition de loi d’urgence sociale et fiscale.
Malgré la censure, le gouvernement s’est refusé à (…)

20 mesures d’urgence pour ouvrir une nouvelle voie

Le refus du Président de la République Emmanuel Macron, de reconnaître les résultats des élections législatives du mois de juin – qu’il avait lui-même convoquées – a entraîné le pays dans la situation actuelle. En désignant un gouvernement minoritaire, il n’a fait que provoquer sa propre censure par l’Assemblée nationale, le 4 décembre 2024.
Cette crise est loin d’être terminée puisque les (…)

Fin de gestion, fin de règne

Nous nous trouvons dans une confusion politique et budgétaire dont le présent texte est la triste illustration.
La majorité gouvernementale nous qualifie, nous parlementaires de gauche, d’incohérents et irresponsables. C’est la plus incroyable des fake news du moment ! En réalité c’est la gestion du Gouvernement qui est incohérente et irresponsable.
Quelques faits. Il y a un an, le 27 (…)

Budget : la crise politique n’autorise pas les coups de force démocratiques

Les groupes de gauche et écologiste du Sénat, groupes SER, CRCE-K et GEST ont quitté l’hémicycle ce dimanche 1er décembre pour dénoncer l’utilisation du mécanisme de la seconde délibération pour vider le texte du projet de loi de finances de tous les apports des sénatrices et sénateurs.
Cet outil de rationalisation du Parlement revient à laisser penser que les parlementaires sont (…)

240 milliards sans contrôle

Le groupe CRCE-K lance une commission d’enquête sur les aides publiques aux grandes entreprises et à leurs sous-traitants
En octobre 2024, près de 180 plans de licenciement ont été recensés en France, représentant près de 47 272 emplois menacés ou supprimés, dont 21 191 pour la seule industrie. Pire, selon l’observatoire français des conjonctures économiques, ce sont au moins 150 000 (…)

Appel aux élus locaux à refuser le budget d’austérité

Considérant que les collectivités territoriales ne sont en rien responsables du déficit public. Entre 2019 et 2023, celles-ci ayant dégagé un solde cumulé positif de + 1,9 milliards d’euros alors que l’État dégageait pour sa part un solde négatif cumulé de - 690,7 milliards d’euros.
DELIBERATION Vu l’article 72 de la Constitution, garantissant l’autonomie des collectivités territoriales, Vu (…)

60 milliards d’économies, la punition collective

La dette est le résultat de leur politique pour les uns, de leur laisser-faire pour les autres. Lors de sa déclaration de politique générale, Michel Barnier a souhaité que « ce parlement comme c’est son rôle, débatte, ajuste, améliore » le projet de loi de finances pour 2025.
Michel Barnier et son gouvernement mis en selle par le président de la République doivent pleinement assurer leur (…)

Les collectivités territoriales dans le viseur du gouvernement Barnier

La poursuite du « en même temps » est la feuille de route présentée lors du discours de politique générale devant le Parlement. Le Premier ministre a appelé à « bâtir un nouveau contrat de responsabilité entre les collectivités locales et l’État » mais elles devront baisser leurs dépenses dès 2025, probablement de 5%.
Le rapport de la Cour des comptes appelant à supprimer 100 000 agents (…)

Les collectivités territoriales ne peuvent être les victimes expiatoires

L’insincérité, maintes fois dénoncée et démontrée par les sénatrices et sénateurs du groupe CRCE-K, mène le gouvernement dans l’impasse budgétaire.
L’insincérité consiste à faire supporter par la seule croissance, manifestement surestimée, l’objectif de redressement des finances publiques en refusant de mobiliser de nouvelles recettes. L’insincérité sur l’impact budgétaire des réformes de (…)

JOP 2024 : pas de « trêve politique » sans « trêve budgétaire »

Entre la cérémonie d’ouverture et le florilège de médailles françaises, le gouvernement démissionnaire construit dans le silence des ministères un budget qui comprendrait 15 milliards d’euros d’économie sur toutes les administrations sans légitimité politique ni populaire.
Entre la cérémonie d’ouverture et le florilège de médailles françaises, le gouvernement démissionnaire construit dans (…)