Non au travail le 1er mai
Le 3 juillet, le Sénat examine la proposition de loi visant à permettre aux employeurs de certains établissements et services de faire travailler leurs employés le 1er mai.
Portée par les sénateurs de l’Union centriste, cette initiative nie la spécificité d’un jour symbolique, façonné par une lutte longue et internationale, dont la portée émancipatrice a traversé les XIXe et XXe siècles. (…)