Je ne reviendrai pas ici sur les arguments développés par M. Renar à propos de la seconde partie du texte et qui contribuent à justifier notre question préalable.
Mais la première partie constitue en elle-même un véritable projet de loi, qui transpose pas moins de sept directives et une décision.
Passons sur la lourdeur de ces dispositions dont l’extrême complexité obscurcit la vision des enjeux sociaux et économiques, donc politiques. Mais nous voilà une fois encore amenés à débattre en un temps record d’un projet de loi relatif au secteur des télécommunications. (…)