Nos communes sont à l’os, elles n’ont plus aucune marge. Baisse constante de la DGF au fil des années et non indexation sur l’inflation, augmentation du point d’indice non compensé, reprise d’acompte sur le filet de sécurité et j’en passe.
Et les voici maintenant face au casse-tête de la prime exceptionnelle obligatoire dans les deux autres versants de la fonction publique. Sa mise en oeuvre dans les communes dépend, certes du bon vouloir du maire, mais surtout des moyens financiers dont il dispose, car bien souvent l’État décide mais ne paye pas.
Tout d’abord sur le principe, plus qu’une prime facultative, c’est bien d’une reconnaissance pérenne et donc d’augmentation de salaire en fonction de l’inflation dont les gens ont besoin.
Et que dire de l’inégalité de traitement entre les différentes catégories de (…)