Droits de l’homme

Ce sont toujours les États qui, sur la base des travaux des historiens, portent une reconnaissance officielle de tel ou tel événement historique

Lois

Répression de la négation des génocides : explication de vote sur l’exception d’irrecevabilité

Par / 23 janvier 2012
Je m’exprime ici en mon nom propre et au nom de la majorité des membres de mon groupe, certains de mes collègues ayant une position différente. En novembre 2000, le Sénat a voté une proposition de loi constituée de cette seule phrase : « La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915. » L’émotion était palpable dans l’hémicycle ; ce jour-là, les sénateurs ont eu l’impression de s’affranchir de la raison d’État – je crois qu’on peut dire les choses ainsi – en rendant sa dignité au peuple arménien. En effet, nier le génocide dont il a été victime revient à nier l’existence même de ce peuple puisque (...) Lire la suite

Le crime commis doit être reconnu et les responsabilités établies

17 octobre 1961

Par / 20 octobre 2011
Le 19 octobre 1961, ici même le sénateur de la Seine, Jacques Duclos, interrogeait Roger Frey, Ministre de l’Intérieur, sur la journée (...) Lire la suite

17 octobre 1961 : l’indispensable reconnaissance

Massacre de centaines d’Algériens

Par / 12 octobre 2011
Il y a 50 ans, le 17 octobre 1961, de très nombreux travailleurs algériens et leurs familles manifestaient pacifiquement à Paris. Ils (...) Lire la suite

Les autres interventions

Lois Un très mauvais signe pour le prétendu renforcement des droits du Parlement

Défenseur des droits : seconde délibération - Par / 3 juin 2010

Administration