Quel paradoxe : débattre de formes grammaticales que l’on n’entend pas et qui n’apparaîtront pas dans nos comptes rendus...
Personnellement, je ne sais ni lire ni écrire l’écriture dite inclusive ; quant à mon groupe, il est opposé à cette forme d’écriture qui complexifie la compréhension de la langue écrite.
Le jour de l’inauguration de la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts et trente ans après la loi Toubon, il eût été de bonne politique que nous profitassions de ce moment pour nous interroger sur le déclin de la langue française.
L’intelligibilité du discours public, aujourd’hui, est corrompue par les anglicismes et les barbarismes.
Historiens et juristes débattent encore pour déterminer si le « (...)