Quand l’État finance la destruction de l’emploi
Ma question s’adresse à M. le Premier ministre.
Il ne se passe pas une semaine en France sans que l’on annonce la fermeture de sites ou d’entreprises. À cette litanie dramatique s’ajoute aujourd’hui Airbus, avec la suppression de 1 164 postes, malgré, vous le savez, un carnet de commandes record et de larges bénéfices.
Lorsque les entreprises se portent bien, elles sont bradées aux (…)