Nombre d’élus locaux déplorent les concertations accélérées, qui nuisent à la prise en compte de leurs spécificités dans les documents administratifs.
Difficile de ne pas évoquer aussi les coupes budgétaires, incohérentes avec les objectifs climatiques de réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 : réduction de 400 millions d’euros du fonds vert et ponction d’un milliard pour MaPrimeRénov’ notamment.
Le Président de la République avait pourtant affirmé que le tournant écologique ne pouvait plus attendre, ce qu’avait également confirmé le rapport Pisani-Ferry, avec des besoins annuels de 34 milliards d’euros.
Il faut trouver des recettes plutôt que de réduire les dépenses, madame la ministre, vous le savez bien !
Il faut assortir les 200 milliards d’euros d’aides affectées aux grandes entreprises à des critères d’écoconditionnalité.