Conséquences de la disparition du GIP-EPRA

Recréer un outil commun de coproduction radiophonique

Publié le 4 janvier 2013 à 14:14 Mise à jour le 8 avril 2015

Madame Annie David attire l’attention de Madame la Ministre de la culture et de la communication sur les conséquences de la disparition du GIP-EPRA. Alertée par de nombreuses radios libres et associatives sur la fin de ce GIP, elle souhaite connaître la position de la ministre de tutelle sur cette décision de fermeture déjà envisagée par le précédent gouvernement. Le GIP-EPRA, créé en 1992 sous le gouvernement de Pierre Bérégovoy a répondu aux attentes des radios libres et associatives. La qualité des programmes produits, l’efficience de ce système d’échanges d’émissions entre territoires n’est plus à démontrer.

En lien avec les ministères en charge de la ville, de l’immigration, de la culture, de la jeunesse et des sports, les émissions étaient d’un excellent contenu éditorial. Au lieu d’un appel à projet géré par les seuls ministères de tutelle, Mme Annie David entend connaître la position de la ministre quant à la proposition des organisations représentatives du secteur de recréer un outil commun de coproduction radiophonique

Annie David

Ancienne sénatrice de l'Isère
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